Le gouvernement français a dépassé toutes les lignes rouges
en retardant la libération de Georges ABDALLAH au 28 janvier 2013.
La justice, avec 28 ans de retard, a remis la libération à ce résistant libanais.
Oui, cette décision de libération prise aurait été définitive
dans un cas ordinaire où la justice française pourrait être indépendante.
Mais dans le cas exceptionnel de Georges ABDALLAH,
la décision du tribunal n'a pas été appliquée à cause des conditions politiques.
C'est un prisonnier politique, prisonnier d'opinion mais surtout un otage du pouvoir politique.
Le comité "libérons Georges 33" appelle à manifester la colère contre ce retard!
28 ans ça suffit !
Place St projet
(accès tram A et B / arrêt hôtel de ville)
14h
samedi 26 janvier 2013
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