samedi 30 mars 2013

[Notre dame des landes] RV fourche en main à 10h le 13 Avril : Sème ta ZAD!

fourche en main à 10h le 13 : Sème ta ZAD!

A diffuser largement :
Unknownname
RV fourche en main à 10h le 13 Avril pour une grande manifestation de mise en culture des terres de la ZAD ! Sème ta ZAD!
Vu sur le site internet des camarades occupant-e-s de la ZAD, le 25/02/2013 :
RV fourche en main à 10h pour plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours.
Appel à lire ci-dessous et à rediffuser le plus largement possible - Pour plus d’infos, visuels : zad.nadir.org/semetazad contact : semetazad@riseup.net
Rendre fertile ce qu’ils veulent rendre stérile :
Le 17 novembre nous étions 40 000 à reconstruire, le 13 avril nous occuperons et cultiverons pour que la zad échappe au béton

Appel
Depuis le 16 octobre, la résistance déterminée à l’opération d’expulsion de la ZAD incarne un espoir : celui que nos vies, nos habitats, nos champs ne soient plus broyés par les logiques marchandes et par les visions stériles de l’aménagement du territoire. Plus de 200 comités locaux de solidarité ont fleuri ces derniers mois, et ici où là, du bocage nantais aux autres zones à défendre, nous voulons de nouveau envisager des victoires.
Le 17 novembre, nous avons montré que malgré l’invasion policière, ils ne pourraient pas vider la ZAD de ses habitant-e-s et que nous pouvions être 40 000 à revenir et reconstruire. Début janvier, une assemblée agricole lançait un appel à projets sur les terres de la ZAD expropriées par Vinci pour remettre en place les potagers détruits et les démultiplier avec l’arrivée de nouveaux et nouvelles paysan-ne-s. Vergers, blés, légumineuses, poules et potagers...une dizaines d’initiatives s’élaborent d’ores et déjà.
Le début du mois d’avril sera un moment charnière : la fin de la « commission de dialogue » proposée par le gouvernement pour « mieux expliquer la nécessité de l’aéroport » signifiera le retour possible d’opérations d’expulsions de grande ampleur. En face, la dynamique d’occupation de la ZAD, relancée le 17 novembre dernier, se tourne à présent vers des projets agricoles destinés à s’implanter dans la durée. La remise en culture, en masse, des terres expropriées sera notre manière de tirer le trait sur un dialogue fantoche – et de célébrer les quelques mois passés à (re)construire, malgré l’incessante occupation militaire des routes du bocage. Cette manifestation sera aussi une manière de prendre de l’avance sur d’éventuels travaux en allant s’installer sur une partie des terres menacées à court terme.
Cette manifestation sera le fruit de ce qui se compose progressivement entre des paysans et des occupant-e-s venu-e-s s’installer pour défendre la zone : défrichage et occupation des terres maraîchères du Sabot en mai 2011, défense de la ferme du Rosier puis de la Châtaigne à l’aide de plusieurs dizaines de tracteurs enchaînés en novembre, occupation in extremis avant sa destruction de la ferme de Bellevue fin janvier... Au-delà de ces quelques dates emblématiques, la régularité des assemblées agricoles ainsi que les complicités nouées au quotidien, aussi bien autour d’un repas que derrière une barricade, ne cessent d’invalider les catégories fermées dont use le pouvoir pour qualifier et diviser les opposant-e-s au projet d’aéroport.
Ce qui se joue aujourd’hui à NDDL rappelle et renouvelle l’histoire dense de certains mouvements paysans locaux au cours des décennies passées : liens forts avec les grèves et mouvements de 68, actions directes face aux diktats de l’industrie, occupations de terre contre les « cumulards »...
Forte de ce terreau, la manifestation du 13 avril, en écho à la journée mondiale des luttes paysannes en appelle à une communisation des terres et des pratiques. Nous entendons par là :
une forme de partage en porte à faux avec les grandes concentrations agricoles et les freins posés à l’accés au foncier pour les projets d’installation paysanne.
l’entraide, la mutualisation de moyens, d’outils, mais aussi les possibilités d’installations collectives
un dialogue fécond entre savoir-faire agricole traditionnel et pratiques expérimentales, entre professionnel-le-s et paysan-ne-s hors-cadre.
des réflexions communes autour de la question alimentaire : sur une production autonome en rupture avec les logiques agro-industrielles, sur les liens possibles avec Nantes et ses habitant-e-s.
la capacité de relier la question agricole à des formes de vie, d’habitat et à des luttes sociales.
En pratique il s’agira, le 13 avril, de partir outils en mains en plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours et de converger sur la ZAD pour se redéployer en direction des différents projets et chantiers agricoles. Au programme et suivant les facteurs hydrométriques : plantation de vergers, de haies et de bosquets aromatiques, pose de ruches, défrichage, repiquage de semis, installation de structures (serres, cabanes à outils...), drainage des terrains, nettoyage des fossés, réparations des clôtures détruites durant les affrontements et balisage des chemins forestiers... Seront aussi prévus des foires aux semences, des expositions de variétés anciennes et aujourd’hui clandestines, des discussions et ateliers autour des pratiques agricoles – et en soirée, des fêtes, bals et banquets.
Nous invitons donc à cette occasion tou-te-s les opposant-e-s au projet d’aéroport à se mobiliser. Venez fêter le retour du printemps et montrons-leur qu’ici comme ailleurs, nous ne voulons ni de leur aéroport ni du monde qui va avec. Rendre fertile ce qu’ils veulent rendre stérile, là est notre force.
(Une liste de besoins plus précis liés aux diverses installations sera transmise quelques semaines avant la manifestation)
En résumé :
10h rv. fourche en main pour plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours pour aller occuper les terres et commencer les chantiers
à midi, chacun-e est invité à amener une tarte à partager.
le soir, bal et banquets
(plus d’infos pratiques, sur les rv, besoins matériels, l’accueil et autres à venir sur le site : zad.nadir.org/semetazad)


Pour tous contacts : semetazad@riseup.net

collectif de lutte contre l'aéroport de Notre Dame des Landes | 25/02/2013 à 20:15

[Survie33] 05 avril : Responsabilité de l' État français dans le génocide des Tuts i

Le 7 avril prochain cela fera 19 ans que le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 démarrait.
Il dura 3 mois et fit entre 800.000 et 1 million de morts.

Les responsables politiques et militaires français de l'époque ont soutenu et continué d'armer le régime rwandais quand tous les indicateurs étaient au rouge

La France a voté à l'ONU le retrait des casques bleus au début du génocide, puis, 2 mois et demi après, elle proposait une opération "militaro-humanitaire" appelée "opération Turquoise".
A cette époque Alain Juppé était ministre des affaires étrangères (mars 1993 à mai 1995) dans le gouvernement Balladur.

Survie Gironde invite le vendredi 5 avril 2013 Laure de Vulpian pour parler de son livre-enquête extrêmement documenté, publié en septembre 2012, et intitulé :

Silence Turquoise, Rwanda 1992-1994. Responsabilité de l'État français dans le génocide des Tutsi.

Laure de Vulpian interviendra :

- à Sciences-Po Bordeaux de 14h à 15h, salle Mabileau (tram B arrêt Montaigne-Montesquieu)

- au Boulevard des Potes de 17h30 à 19h, 29 rue Bergeret à Bordeaux

Entrées libres.
Merci de bien vouloir faire circuler au maximum cette information autour de vous.


Ce livre révèle la vérité sur l’opération « humanitaire » Turquoise, confiée à des militaires. Cette opération planifiée par les autorités françaises, contestée dès l’origine, commence douze jours seulement avant la chute de Kigali et la fin du génocide – douze jours entachés d’imposture militaire et politique et de choix très fautifs, selon Thierry Prungnaud, co-auteur du livre.
Cet ancien du GIGN sait de quoi il parle, il a participé à Turquoise au sein du Commandement des forces spéciales (COS). Acteur et témoin, il évoque un état-major français presque toujours pro-hutu, dévoile des zones d’ombre, effrayantes, notamment à Bisesero entre le 27 et le 30 juin 1994, où plus d’un millier de Tutsi ont été massacrés et alors que, à proximité, la hiérarchie connaissait le danger qui pesait sur eux. Elle n’a donné aucun ordre pour les protéger.

Il y a quelques années, la justice a été saisie d’une plainte contre l’État français pour « complicité de génocide et de crimes contre l’humanité ». Depuis, le tribunal aux Armées instruit – mollement.

L’enquête serrée de Laure de Vulpian s’appuie sur le témoignage du sous- officier Prungnaud. Elle met en évidence les faiblesses de la Mission parlementaire Quilès, la campagne de désinformation orchestrée par une poignée de hauts responsables militaires et politiques, le positionnement très « idéologique » – anti Tutsi – d’officiers supérieurs de Turquoise, ainsi que leurs mensonges.

Cette enquête nous amène sur le terrain politique franco-français, expose les difficultés de la justice à faire la vérité sur le rôle de l’État français.
Elle parle aussi des militaires qui, voulant accomplir leur devoir, ont outrepassé les ordres. Ils ont ainsi sauvé l’honneur sinon de la France, au moins des Français.

Solidairement,


[Survie33] 03 avril : Humanité, disparaît re ou changer ? Nos modes de consommation en question

RENCONTRE / DÉBAT  le Mercredi 3 avril à 18h30 – Médiathèque CASTAGNERA (Peixotto, Talence)

"Humanité, disparaître ou changer ? Nos modes de consommation en question"

organisée par le RADSI (Réseau aquitain pour le développement et la solidarité internationale) dans le cadre de la semaine du développement durable.

Les associations CCFD Terre solidaire et Survie, à partir d'exemples concrets, nous inviteront à réfléchir sur les impacts de nos modes de consommation.
 
Entrée gratuite.

Merci de bien vouloir diffuser cette info,
venez nombreux-ses !


petition amiante

A faire circuler et à signer......

Une dangereuse impunité

 

Les victimes ouvrières ont-elles le droit à la justice pénale?

Le 13 février 2012, à Turin, deux des plus hauts responsables du groupe Eternit ont été condamnés à seize ans de prison ferme pour désastre volontaire ayant fait des milliers de victimes. Ce 8février 2013, pour des faits analogues, commis à la même époque, avec les mêmes conséquences, la cour d’appel de Paris décide que le procès de Claude Chopin, ex-PDG de l’usine française de textile amiante Amisol, n’aura pas lieu.

Aucune charge n’est retenue contre lui, au motif «que les faits commis en 1974 ne peuvent pas être appréciés avec les exigences de santé publique apparues depuis lors…» «Que la mémoire des faits s’efface!»

Cet épisode éclaire de façon nette la volonté de l’État à l’égard des victimes de l’amiante puisque cette décision résulte de la demande du procureur général en soutien objectif de la demande de l’ex-PDG d’Amisol. Elle s’inscrit en cohérence avec l’annonce par le ministère de la Justice du retrait des fonctions de juge d’instruction de la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, coordonnatrice de l’instruction au pôle de santé publique, sous le couvert d’une interprétation de la loi limitant la durée de mandat de juges spécialisés.

La décision rendue à Paris contre les victimes d’Amisol témoigne d’une volonté politique d’étouffer l’affaire de l’amiante. C’est à cela qu’aura servi la création du pôle judiciaire de santé publique! Non pas juger mais étouffer...

Cette décision scandaleuse qui éconduit les victimes de la pire usine d’amiante française va cependant beaucoup plus loin qu’Amisol. Elle est dangereuse pour tous. Elle signifie que les effets différés des empoisonnements industriels, qu’il s’agisse de l’amiante ou autres toxiques mortels, pourraient ne jamais être jugés. La porte est ainsi ouverte à tous les abus, à toutes les impunités des véritables responsables. La réprobation doit s’exprimer, parce que cet épisode sous-tend aussi cette idée: «Les victimes ouvrières n’ont pas droit à la justice pénale, la réparation par l’indemnisation éventuelle doit leur suffire.» C’est en quelque sorte: prends le chèque et circule!

Le pourvoi en cassation des victimes d’Amisol a été immédiat… Le combat continue! En mémoire et en soutien de toutes les victimes d’Amisol, avec les militantes et militants, ex-ouvrières et ouvriers de cette usine qui, depuis les années 1970, luttent contre l’amiante et pour les droits des victimes, nous, soussignés, nous voulons dire:

notre réprobation de cette décision judiciaire indigne;

notre soutien reconnaissant aux Amisol;

notre refus de procureurs au service des pouvoirs économiques;

notre volonté que le dossier de l’amiante ne soit pas jusqu’au bout dans la connivence.

Et nous nous engageons aux côtés des Amisol pour la justice pénale contre les responsables de crimes sociaux et environnementaux.

 

Appel collectif.

 

Pour signer la pétition : www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=AMISOL


vendredi 29 mars 2013

Le footballeur palestinien Mahmoud Sarsak à Libourne le jeudi 4 avril 2013



Libourne


Le footballeur Mahmoud Sarsak en Gironde


Mahmoud Sarsak est un footballeur de la sélection nationale palestinienne. Soutenu par les personnes de conscience partout dans le monde, y compris par des personnalités du football, il a été libéré de prison par Israël en Juillet 2012, après trois ans de détention et 92 jours de grève de la faim.
« Le 10 juillet de cette année j'ai été libéré par  les forces d'occupation israéliennes après trois ans d'emprisonnement et suite à une grève de la faim de92 jours. La mobilisation de gens de conscience partout dans le monde ainsi que les déclarations des organisations de football comme la FIFPro, celles de footballeurs professionnels, retraités ou toujours  en activité, comme Eric Cantona et Frédéric Kanouté, d’officiels des hautes instances du football tels que Sepp Blatter, ou d'autres personnalités publiques, étaient à la fois enthousiasmant et extrêmement utiles pour maintenir la pression sur Israël et une raison principale de ma libération finale. »

Mahmoud Sarsak sera présent en Gironde le jeudi 4 avril 2013 accompagné de Mohamed Alarabi, président du Club de sport des handicapés de Gaza :
 
-  A Libourne à la Maison des associations (47 boulevard de Quinault) à 19h pour une rencontre publique.

Nous vous invitons à venir les rencontrer et échanger avec eux sur la situation du sport en Palestine.



Mahmoud Sarsak, footballeur originaire de la bande  de Gaza emprisonné par Israël pendant trois ans et  libéré en juillet 2012 au terme d'une longue grève de la faim, a entamé mardi à Paris une campagne visant à obtenir l'annulation de l'Euro des -21 ans prévu en Israël en juin.
"Nous sommes venus pour informer les Européens des  violations que subissent les sportifs, les prisonniers et les enfants en Palestine", a déclaré Sarsak lors d'une  conférence de presse, "et pour faire pression auprès des responsables sportifs internationaux pour qu'ils interdisent la tenue de l'Euro des moins de 21 ans en Israël".
Assis devant un drapeau palestinien, le jeune homme a brandi des photos des stades de Gaza, "avant/après" les bombardements israéliens qui, pour certains, ont creusé de véritables cratères dans les pelouses.
"Israël cherche à tuer l'espoir des sportifs palestiniens en les empêchant de pratiquer", affirme-t-il en prenant exemple de son propre cas: Arrêté "sans raison" en juillet 2009 alors qu'il se rendait à une rencontre avec son équipe de Jaffa, Sarsak avait été placé en détention administrative. En 2012, il avait observé une grève de la fin de trois mois avant d'être libéré en juillet.
Le joueur a demandé un rendez-vous avec le président de la fédération française de football (FFF) NoëlLe Graët et la ministre française des sports, Valérie Fourneyron, afin de les convaincre de faire pression sur l'UEFA pour obtenir l'annulation de l'Euro des -21 ans. Il doit se rendre ensuite dans plusieurs pays européens pour tenter les mêmes démarches.
PARIS, 26 Mars 2013, 13h54 (AFP)

Sur la tournée de Mahmoud Sarsak et Mohamed Alarabi en France et en Belgique voir :
 http://www.europalestine.com/spip.php?article8194

[Notre dame des landes] RV fourche en main à 10h le 13 Avril : Sème ta ZAD!

fourche en main à 10h le 13 : Sème ta ZAD!

A diffuser largement :

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RV fourche en main à 10h le 13 Avril pour une grande manifestation de mise en culture des terres de la ZAD ! Sème ta ZAD!
Vu sur le site internet des camarades occupant-e-s de la ZAD, le 25/02/2013 :
RV fourche en main à 10h pour plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours.
Appel à lire ci-dessous et à rediffuser le plus largement possible - Pour plus d’infos, visuels : zad.nadir.org/semetazad contact : semetazad@riseup.net
Rendre fertile ce qu’ils veulent rendre stérile :
Le 17 novembre nous étions 40 000 à reconstruire, le 13 avril nous occuperons et cultiverons pour que la zad échappe au béton

Appel
Depuis le 16 octobre, la résistance déterminée à l’opération d’expulsion de la ZAD incarne un espoir : celui que nos vies, nos habitats, nos champs ne soient plus broyés par les logiques marchandes et par les visions stériles de l’aménagement du territoire. Plus de 200 comités locaux de solidarité ont fleuri ces derniers mois, et ici où là, du bocage nantais aux autres zones à défendre, nous voulons de nouveau envisager des victoires.
Le 17 novembre, nous avons montré que malgré l’invasion policière, ils ne pourraient pas vider la ZAD de ses habitant-e-s et que nous pouvions être 40 000 à revenir et reconstruire. Début janvier, une assemblée agricole lançait un appel à projets sur les terres de la ZAD expropriées par Vinci pour remettre en place les potagers détruits et les démultiplier avec l’arrivée de nouveaux et nouvelles paysan-ne-s. Vergers, blés, légumineuses, poules et potagers...une dizaines d’initiatives s’élaborent d’ores et déjà.
Le début du mois d’avril sera un moment charnière : la fin de la « commission de dialogue » proposée par le gouvernement pour « mieux expliquer la nécessité de l’aéroport » signifiera le retour possible d’opérations d’expulsions de grande ampleur. En face, la dynamique d’occupation de la ZAD, relancée le 17 novembre dernier, se tourne à présent vers des projets agricoles destinés à s’implanter dans la durée. La remise en culture, en masse, des terres expropriées sera notre manière de tirer le trait sur un dialogue fantoche – et de célébrer les quelques mois passés à (re)construire, malgré l’incessante occupation militaire des routes du bocage. Cette manifestation sera aussi une manière de prendre de l’avance sur d’éventuels travaux en allant s’installer sur une partie des terres menacées à court terme.
Cette manifestation sera le fruit de ce qui se compose progressivement entre des paysans et des occupant-e-s venu-e-s s’installer pour défendre la zone : défrichage et occupation des terres maraîchères du Sabot en mai 2011, défense de la ferme du Rosier puis de la Châtaigne à l’aide de plusieurs dizaines de tracteurs enchaînés en novembre, occupation in extremis avant sa destruction de la ferme de Bellevue fin janvier... Au-delà de ces quelques dates emblématiques, la régularité des assemblées agricoles ainsi que les complicités nouées au quotidien, aussi bien autour d’un repas que derrière une barricade, ne cessent d’invalider les catégories fermées dont use le pouvoir pour qualifier et diviser les opposant-e-s au projet d’aéroport.
Ce qui se joue aujourd’hui à NDDL rappelle et renouvelle l’histoire dense de certains mouvements paysans locaux au cours des décennies passées : liens forts avec les grèves et mouvements de 68, actions directes face aux diktats de l’industrie, occupations de terre contre les « cumulards »...
Forte de ce terreau, la manifestation du 13 avril, en écho à la journée mondiale des luttes paysannes en appelle à une communisation des terres et des pratiques. Nous entendons par là :
une forme de partage en porte à faux avec les grandes concentrations agricoles et les freins posés à l’accés au foncier pour les projets d’installation paysanne.
l’entraide, la mutualisation de moyens, d’outils, mais aussi les possibilités d’installations collectives
un dialogue fécond entre savoir-faire agricole traditionnel et pratiques expérimentales, entre professionnel-le-s et paysan-ne-s hors-cadre.
des réflexions communes autour de la question alimentaire : sur une production autonome en rupture avec les logiques agro-industrielles, sur les liens possibles avec Nantes et ses habitant-e-s.
la capacité de relier la question agricole à des formes de vie, d’habitat et à des luttes sociales.
En pratique il s’agira, le 13 avril, de partir outils en mains en plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours et de converger sur la ZAD pour se redéployer en direction des différents projets et chantiers agricoles. Au programme et suivant les facteurs hydrométriques : plantation de vergers, de haies et de bosquets aromatiques, pose de ruches, défrichage, repiquage de semis, installation de structures (serres, cabanes à outils...), drainage des terrains, nettoyage des fossés, réparations des clôtures détruites durant les affrontements et balisage des chemins forestiers... Seront aussi prévus des foires aux semences, des expositions de variétés anciennes et aujourd’hui clandestines, des discussions et ateliers autour des pratiques agricoles – et en soirée, des fêtes, bals et banquets.
Nous invitons donc à cette occasion tou-te-s les opposant-e-s au projet d’aéroport à se mobiliser. Venez fêter le retour du printemps et montrons-leur qu’ici comme ailleurs, nous ne voulons ni de leur aéroport ni du monde qui va avec. Rendre fertile ce qu’ils veulent rendre stérile, là est notre force.
(Une liste de besoins plus précis liés aux diverses installations sera transmise quelques semaines avant la manifestation)
En résumé :
10h rv. fourche en main pour plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours pour aller occuper les terres et commencer les chantiers
à midi, chacun-e est invité à amener une tarte à partager.
le soir, bal et banquets
(plus d’infos pratiques, sur les rv, besoins matériels, l’accueil et autres à venir sur le site : zad.nadir.org/semetazad)


Pour tous contacts : semetazad@riseup.net

collectif de lutte contre l'aéroport de Notre Dame des Landes | 25/02/2013 à 20:15

[Survie33] 05 avril : Responsabilité de l' État français dans le génocide des Tutsi

Le 7 avril prochain cela fera 19 ans que le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 démarrait.
Il dura 3 mois et fit entre 800.000 et 1 million de morts.

Les responsables politiques et militaires français de l'époque ont soutenu et continué d'armer le régime rwandais quand tous les indicateurs étaient au rouge

La France a voté à l'ONU le retrait des casques bleus au début du génocide, puis, 2 mois et demi après, elle proposait une opération "militaro-humanitaire" appelée "opération Turquoise".
A cette époque Alain Juppé était ministre des affaires étrangères (mars 1993 à mai 1995) dans le gouvernement Balladur.

Survie Gironde invite le vendredi 5 avril 2013 Laure de Vulpian pour parler de son livre-enquête extrêmement documenté, publié en septembre 2012, et intitulé :

Silence Turquoise, Rwanda 1992-1994. Responsabilité de l'État français dans le génocide des Tutsi.

Laure de Vulpian interviendra :

- à Sciences-Po Bordeaux de 14h à 15h, salle Mabileau (tram B arrêt Montaigne-Montesquieu)

- au Boulevard des Potes de 17h30 à 19h, 29 rue Bergeret à Bordeaux

Entrées libres.
Merci de bien vouloir faire circuler au maximum cette information autour de vous.


Ce livre révèle la vérité sur l’opération « humanitaire » Turquoise, confiée à des militaires. Cette opération planifiée par les autorités françaises, contestée dès l’origine, commence douze jours seulement avant la chute de Kigali et la fin du génocide – douze jours entachés d’imposture militaire et politique et de choix très fautifs, selon Thierry Prungnaud, co-auteur du livre.
Cet ancien du GIGN sait de quoi il parle, il a participé à Turquoise au sein du Commandement des forces spéciales (COS). Acteur et témoin, il évoque un état-major français presque toujours pro-hutu, dévoile des zones d’ombre, effrayantes, notamment à Bisesero entre le 27 et le 30 juin 1994, où plus d’un millier de Tutsi ont été massacrés et alors que, à proximité, la hiérarchie connaissait le danger qui pesait sur eux. Elle n’a donné aucun ordre pour les protéger.

Il y a quelques années, la justice a été saisie d’une plainte contre l’État français pour « complicité de génocide et de crimes contre l’humanité ». Depuis, le tribunal aux Armées instruit – mollement.

L’enquête serrée de Laure de Vulpian s’appuie sur le témoignage du sous- officier Prungnaud. Elle met en évidence les faiblesses de la Mission parlementaire Quilès, la campagne de désinformation orchestrée par une poignée de hauts responsables militaires et politiques, le positionnement très « idéologique » – anti Tutsi – d’officiers supérieurs de Turquoise, ainsi que leurs mensonges.

Cette enquête nous amène sur le terrain politique franco-français, expose les difficultés de la justice à faire la vérité sur le rôle de l’État français.
Elle parle aussi des militaires qui, voulant accomplir leur devoir, ont outrepassé les ordres. Ils ont ainsi sauvé l’honneur sinon de la France, au moins des Français.

Solidairement,

[Survie33] 03 avril : Humanité, disparaît re ou changer ? Nos modes de consommation en question

RENCONTRE / DÉBAT  le Mercredi 3 avril à 18h30 – Médiathèque CASTAGNERA (Peixotto, Talence)

"Humanité, disparaître ou changer ? Nos modes de consommation en question"

organisée par le RADSI (Réseau aquitain pour le développement et la solidarité internationale) dans le cadre de la semaine du développement durable.

Les associations CCFD Terre solidaire et Survie, à partir d'exemples concrets, nous inviteront à réfléchir sur les impacts de nos modes de consommation.
 
Entrée gratuite.

Merci de bien vouloir diffuser cette info,
venez nombreux-ses !

pétition amiante

A faire circuler et à signer......

Une dangereuse impunité

 

Les victimes ouvrières ont-elles le droit à la justice pénale?

Le 13 février 2012, à Turin, deux des plus hauts responsables du groupe Eternit ont été condamnés à seize ans de prison ferme pour désastre volontaire ayant fait des milliers de victimes. Ce 8 février 2013, pour des faits analogues, commis à la même époque, avec les mêmes conséquences, la cour d’appel de Paris décide que le procès de Claude Chopin, ex-PDG de l’usine française de textile amiante Amisol, n’aura pas lieu.

Aucune charge n’est retenue contre lui, au motif « que les faits commis en 1974 ne peuvent pas être appréciés avec les exigences de santé publique apparues depuis lors… » « Que la mémoire des faits s’efface! »

Cet épisode éclaire de façon nette la volonté de l’État à l’égard des victimes de l’amiante puisque cette décision résulte de la demande du procureur général en soutien objectif de la demande de l’ex-PDG d’Amisol. Elle s’inscrit en cohérence avec l’annonce par le ministère de la Justice du retrait des fonctions de juge d’instruction de la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, coordonnatrice de l’instruction au pôle de santé publique, sous le couvert d’une interprétation de la loi limitant la durée de mandat de juges spécialisés.

La décision rendue à Paris contre les victimes d’Amisol témoigne d’une volonté politique d’étouffer l’affaire de l’amiante. C’est à cela qu’aura servi la création du pôle judiciaire de santé publique! Non pas juger mais étouffer...

Cette décision scandaleuse qui éconduit les victimes de la pire usine d’amiante française va cependant beaucoup plus loin qu’Amisol. Elle est dangereuse pour tous. Elle signifie que les effets différés des empoisonnements industriels, qu’il s’agisse de l’amiante ou autres toxiques mortels, pourraient ne jamais être jugés. La porte est ainsi ouverte à tous les abus, à toutes les impunités des véritables responsables. La réprobation doit s’exprimer, parce que cet épisode sous-tend aussi cette idée: « Les victimes ouvrières n’ont pas droit à la justice pénale, la réparation par l’indemnisation éventuelle doit leur suffire. » C’est en quelque sorte: prends le chèque et circule!

Le pourvoi en cassation des victimes d’Amisol a été immédiat… Le combat continue! En mémoire et en soutien de toutes les victimes d’Amisol, avec les militantes et militants, ex-ouvrières et ouvriers de cette usine qui, depuis les années 1970, luttent contre l’amiante et pour les droits des victimes, nous, soussignés, nous voulons dire:

notre réprobation de cette décision judiciaire indigne;

notre soutien reconnaissant aux Amisol;

notre refus de procureurs au service des pouvoirs économiques;

notre volonté que le dossier de l’amiante ne soit pas jusqu’au bout dans la connivence.

Et nous nous engageons aux côtés des Amisol pour la justice pénale contre les responsables de crimes sociaux et environnementaux.

 

Appel collectif.

 

Pour signer la pétition : www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=AMISOL

dimanche 24 mars 2013

Notre Dame des Landes: grande manif de mi se en culture "sème ta zad" le 13 avril

Grande Manif Mise en Culture - Sème ta ZAD

samedi 13 avril 2013, par zadist

Samedi 13 avril, RV fourche en main à 10h pour plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours.

Appel à lire ci-dessous et à rediffuser le plus largement possible - Pour plus d’infos, visuels : zad.nadir.org/semetazad contact : semetazad@riseup.net

Rendre fertile ce qu’ils veulent rendre stérile :

Le 17 novembre nous étions 40 000 à reconstruire, le 13 avril nous occuperons et cultiverons pour que la zad échappe au béton

Unknownname

Appel

Depuis le 16 octobre, la résistance déterminée à l’opération d’expulsion de la ZAD incarne un espoir : celui que nos vies, nos habitats, nos champs ne soient plus broyés par les logiques marchandes et par les visions stériles de l’aménagement du territoire. Plus de 200 comités locaux de solidarité ont fleuri ces derniers mois, et ici où là, du bocage nantais aux autres zones à défendre, nous voulons de nouveau envisager des victoires.

Le 17 novembre, nous avons montré que malgré l’invasion policière, ils ne pourraient pas vider la ZAD de ses habitant-e-s et que nous pouvions être 40 000 à revenir et reconstruire. Début janvier, une assemblée agricole lançait un appel à projets sur les terres de la ZAD expropriées par Vinci pour remettre en place les potagers détruits et les démultiplier avec l’arrivée de nouveaux et nouvelles paysan-ne-s. Vergers, blés, légumineuses, poules et potagers...une dizaines d’initiatives s’élaborent d’ores et déjà.

Le début du mois d’avril sera un moment charnière : la fin de la « commission de dialogue » proposée par le gouvernement pour « mieux expliquer la nécessité de l’aéroport » signifiera le retour possible d’opérations d’expulsions de grande ampleur. En face, la dynamique d’occupation de la ZAD, relancée le 17 novembre dernier, se tourne à présent vers des projets agricoles destinés à s’implanter dans la durée. La remise en culture, en masse, des terres expropriées sera notre manière de tirer le trait sur un dialogue fantoche – et de célébrer les quelques mois passés à (re)construire, malgré l’incessante occupation militaire des routes du bocage. Cette manifestation sera aussi une manière de prendre de l’avance sur d’éventuels travaux en allant s’installer sur une partie des terres menacées à court terme.

Cette manifestation sera le fruit de ce qui se compose progressivement entre des paysans et des occupant-e-s venu-e-s s’installer pour défendre la zone : défrichage et occupation des terres maraîchères du Sabot en mai 2011, défense de la ferme du Rosier puis de la Châtaigne à l’aide de plusieurs dizaines de tracteurs enchaînés en novembre, occupation in extremis avant sa destruction de la ferme de Bellevue fin janvier... Au-delà de ces quelques dates emblématiques, la régularité des assemblées agricoles ainsi que les complicités nouées au quotidien, aussi bien autour d’un repas que derrière une barricade, ne cessent d’invalider les catégories fermées dont use le pouvoir pour qualifier et diviser les opposant-e-s au projet d’aéroport.

Ce qui se joue aujourd’hui à NDDL rappelle et renouvelle l’histoire dense de certains mouvements paysans locaux au cours des décennies passées : liens forts avec les grèves et mouvements de 68, actions directes face aux diktats de l’industrie, occupations de terre contre les « cumulards »...

Forte de ce terreau, la manifestation du 13 avril, en écho à la journée mondiale des luttes paysannes en appelle à une communisation des terres et des pratiques. Nous entendons par là :

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 une forme de partage en porte à faux avec les grandes concentrations agricoles et les freins posés à l’accés au foncier pour les projets d’installation paysanne.

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 l’entraide, la mutualisation de moyens, d’outils, mais aussi les possibilités d’installations collectives

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 un dialogue fécond entre savoir-faire agricole traditionnel et pratiques expérimentales, entre professionnel-le-s et paysan-ne-s hors-cadre.

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 des réflexions communes autour de la question alimentaire : sur une production autonome en rupture avec les logiques agro-industrielles, sur les liens possibles avec Nantes et ses habitant-e-s.

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 la capacité de relier la question agricole à des formes de vie, d’habitat et à des luttes sociales.

En pratique il s’agira, le 13 avril, de partir outils en mains en plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours et de converger sur la ZAD pour se redéployer en direction des différents projets et chantiers agricoles. Au programme et suivant les facteurs hydrométriques : plantation de vergers, de haies et de bosquets aromatiques, pose de ruches, défrichage, repiquage de semis, installation de structures (serres, cabanes à outils...), drainage des terrains, nettoyage des fossés, réparations des clôtures détruites durant les affrontements et balisage des chemins forestiers... Seront aussi prévus des foires aux semences, des expositions de variétés anciennes et aujourd’hui clandestines, des discussions et ateliers autour des pratiques agricoles – et en soirée, des fêtes, bals et banquets.

Nous invitons donc à cette occasion tou-te-s les opposant-e-s au projet d’aéroport à se mobiliser. Venez fêter le retour du printemps et montrons-leur qu’ici comme ailleurs, nous ne voulons ni de leur aéroport ni du monde qui va avec. Rendre fertile ce qu’ils veulent rendre stérile, là est notre force.

(Une liste de besoins plus précis liés aux diverses installations sera transmise quelques semaines avant la manifestation)

En résumé :

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 10h rv. fourche en main pour plusieurs cortèges depuis les bourgs alentours pour aller occuper les terres et commencer les chantiers

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 à midi, chacun-e est invité à amener une tarte à partager.

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 le soir, bal et banquets

(plus d’infos pratiques, sur les rv, besoins matériels, l’accueil et autres à venir sur le site : zad.nadir.org/semetazad)

--

jeudi 21 mars 2013

[LiberonsGeorges33] La décision sur la libération de Georges Ibrahim Abdallah remise au 11 avril 2013

La décision sur la libération de Georges Ibrahim Abdallah remise au 11 avril

La justice française a renvoyé jeudi au 11 avril une décision attendue dans la délicate procédure judiciaire sur la demande de libération conditionnelle du Libanais Georges Ibrahim Abdallah, emprisonné depuis 28 ans en France.

La chambre d'application des peines (cour d'appel) devait se prononcer jeudi sur un appel du parquet, qui n'est pas d'accord avec le choix du tribunal d'application des peines (TAP) de Paris de reporter l'examen de cette demande de libération conditionnelle dans l'attente d'un hypothétique arrêté d'expulsion signé par le ministère de l'Intérieur. Mais son délibéré a été prorogé au 11 avril, a-t-on indiqué de source judiciaire.

Le parquet considère que compte tenu de l'absence de cet arrêté d'expulsion, le TAP aurait dû déclarer la demande de libération conditionnelle irrecevable.

Or le TAP a déjà reporté à deux reprises l'examen de la demande de libération, en novembre puis en janvier, comme s'il voulait laisser la possibilité au ministère de l'Intérieur de prendre cet arrêté indispensable à la sortie de prison de M. Abdallah.

Mercredi soir, des affrontements ont éclaté devant la résidence de l'ambassadeur de France à Beyrouth entre forces de sécurité et des partisans de l'ancien activiste libanais détenu en France, a rapporté l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).

Selon l'ANI, les échauffourées ont éclaté lorsque les manifestants ont tenté de dépasser les barricades devant la résidence de l'ambassadeur. Aucune personne n'a été transférée à l'hôpital, a précisé l'agence libanaise, alors que plusieurs médias libanais ont fait état de blessés parmi les manifestants. 

Le collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah a maintes fois dénoncé le retard et la procrastination de la justice française dans ce dossier.

Dans leur première décision d'ajournement, le 21 novembre 2012, les juges français avaient émis un avis positif sur cette demande de remise en liberté à laquelle le parquet est opposé.
Si la cour d'appel venait à considérer que le TAP n'aurait pas dû ajourner sa décision, elle devrait nécessairement statuer elle-même sur le fond de la demande de libération conditionnelle et, logiquement, la rejeter, en l'absence d'arrêté d'expulsion.

L'ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), arrêté en 1984 puis condamné à perpétuité pour complicité dans les assassinats de deux diplomates, un Américain et un Israélien, en est à sa huitième demande de libération conditionnelle.

Si en revanche la cour d'appel confirmait la décision d'ajournement, le TAP aurait la possibilité de fixer une nouvelle date d'examen de la demande de libération conditionnelle. Il risquerait alors de buter une nouvelle fois sur l'absence d'arrêté d'expulsion...

Les soutiens de l'ancien militant, âgé de 61 ans et détenu à Lannemezan (Hautes-Pyrénées), l'estiment "séquestré par l'État français sur pressions états-uniennes". Le département d’État ainsi que des élus de toutes tendances du Congrès américain avaient réitéré mi-janvier leur opposition à une sortie de prison.

olj.com 21/03/2013


 

lundi 18 mars 2013

SITUATION DU LOGEMENT EN GIRONDE : RENCONTRE & DEBATS LE 21 MARS PROCHAIN

dépliant Logement2013_5_print (1).pdf Download this file

Bonjour,

Alors qu'approche la fin de la trêve hivernale et que de nouvelles
expulsions sans solution de relogement vont toucher des personnes et des
familles, alors que plusieurs dizaines de milliers de demandes de
logement social sont non satisfaites en Gironde, l'enjeu du droit au
logement (sinon à l'hébergement) pour tous reste d'une brûlante actualité.

Pour partager les éléments de constat et avancer sur les solutions à
promouvoir, le groupe de liaison girondin "Appel Logement" organise une
journée de travail le jeudi 21 mars prochain sur le campus de
l'université de Bordeaux 4 (cf. invitation jointe).

Vous êtes cordialement invité(e) à participer à ce moment d'échange.

Merci de signaler votre présence au repas (offert) afin de faciliter
l'organisation logistique.

En espérant vous retrouver nombreux,

Bien solidairement

Jean-Claude Guicheney
LDH Bordeaux-Gironde

[Bordeaux - 23 mars] C.L.A.P33 - Journée contre les violences policières

Bordeaux, le 17 mars 2013

Communiqué du collectif Contre Les Abus Policiers (C.L.A.P33)
et de l'Orchestre Poétique d'Avant-guerre (O.P.A)

Samedi 23 mars - Deux rendez-vous contre les violences policières.

A faire suivre d'un klik :
http://0z.fr/Yasmb

***
Crimes policiers : il faut qu'ça cesse !

Depuis deux ans, le C.L.A.P et O.P.A s'associent aux initiatives internationales qui font du mois de mars un mois de dénonciations et de réflexions contre et autour des violences policières, et plus largement, de tout ce qui constitue la répression et le contrôle que l'Etat exerce sur nos quotidiens.

Ces évènements sont portés par des collectifs militants mais aussi par les familles ayant perdu un proche lors de bavures policières.

Cette année, 20 nouveaux morts sont venus allonger  la déjà longue liste de celles et ceux qui n'ont pas survécu à une rencontre malencontreuse avec les forces de l'ordre.

Vingt familles auxquelles la justice ne sera sans doute pas rendue quand l'année passée fut ponctuée de classements sans suite et de non-lieux dans la quasi totalité des affaires dites de "bavures".

Bavures pourtant bien orientées quand la plupart des morts portent des noms à consonances étrangères...
http://atouteslesvictimes.samizdat.net/

Parallèlement à nos disparus, les militants continuent de subir diverses formes de répressions : enfermements, amendes, procès divers (entre autre pour refus A.D.N), intimidations, violences policières.
http://clap33.over-blog.com/categorie-11620999.html

Tout cela fait que notre détermination demeure intacte à poursuivre les objectifs que nous nous sommes donnés en 2009 :
http://clap33.over-blog.com/pages/Le_Manifeste-1768283.html

Nous serons donc sur le qui-vive ce samedi 23 mars et vous proposons deux rendez-vous contre les violences policières à Bordeaux.

"Scènes de crimes" - Hommage aux victimes
15h - Place de la Victoire
17h30 - Place St Michel

Concert contre les violences policières
Avec O.P.A (Improvisations) & Flore (Rock/Punk)
20h - Bar-Tabac de St Michel
Entrez libres !

http://gironde.demosphere.eu/node/2470

**
Complément d'infos

VIDEOS

m. & Ramata de Vies Volées par la Police
Table ronde sur les violences policières - Paris 23 février 2013

O.P.A - "Vétérante"

**
LES FAMILLES SE MOBILISENT

Collectif Vies Volées par la Police
http://viesvolees.fr/

Collectif Urgence la Police Assassine
http://www.urgence-notre-police-assassine.fr/

Merci de faire suivre dans vos réseaux.

A vos côtés solidaires,

Le collectif Contre Les Abus Policiers
http://clap33.over-blog.com/

L'Orchestre Poétique d'Avant-guerre (O.P.A)
http://www.opa33.org/

François HOLLANDE - Georges ABDALLAH - Bordeaux - 16 mars 2013

En pièces jointes quelques photos concernant la visite de Hollande hier samedi 16 mars 2013 à  Bordeaux pour l'inauguration du pont levant Bacalan-Bastide.
regroupées ici en vidéo :



[atheneeinfos] programme fin mars à début mai 2013

Athénée Libertaire
Bordeaux - 7 rue du Muguet

programme fin mars à début mai 

Vendredi 22 Mars 19h30 - Apéro non mixte d'Ovaires et Contre Tout

Nous aurons le plaisir d'accueillir Jules Falquet (militante féministe, maîtresse de conférence au Centre d'Enseignement, de Documentation et de Recherche pour les Etudes Féministes, Paris 7.), avec qui nous pourrons parler - entre autres - des féminismes latino-américains, autour du miam-miam et du glou-glou amené par chacune.
Convivialité antipatriarcale assurée!

Samedi 23 Mars 16h00 - Débat
La librairie du muguet  fête ses dix ans, et vous offre une sangria après le débat « la Bio, entre business et projet de société ».
La grande distribution propose des produits bio importés de l’autre bout du monde, à l’empreinte écologique catastrophique, cultivés par des ouvriers sous-payés et revendus entre cinq et dix fois leurs prix d’achat.
Pendant ce temps, des paysans vendent leurs produits bio, avec une réflexion sur un prix juste, sur des marchés de plein vent ou au sein d’Amap. Plutôt qu’une démarche indissociablement écologique, sociale et politique, peut-on réduire la bio à une distribution d’aliments sans pesticides pour consommateurs inquiets de leur santé ? La bio peut-elle se mettre au service du “bien-être” d’une partie de la population sans ébranler les fondements de la société de consommation ?
Débat en présence du coordinateur et auteur Philippe Baqué.

Dimanche 24 Mars 19h00- Concert
Obedencia ( punk rock / Madrid) + invité-es.
5€ - orga Perrovaca


Mercredi 3 Avril 19h00 - Concert Hardcore-Punk
Sectarian Violence  [ Uk/USA/Swe.]
Shock [Bordeaux]
Fracaso [ Punk Hardcore Anarquista / Caracas(Vénézuela)
Orga : Mankind 5 euros


Vendredi 12 Avril  - Concert
Bernays Propaganda ( Post punk / Macédoine ) + guest
Orga Mankind, 5 €


Mercredi 1er Mai – 13h00 - Apéro annuel, récurent, bruyant, accueillant, militant ...
Rdv après la manif de la journée internationale de lutte des travailleur-ses


Samedi 3 Mai - Projection – 19h00
Harlan County, U.S.A. est un documentaire américain réalisé par Barbara Koople en 1976.…
This film documents the coal miners' strike against the Brookside Mine of the Eastover Mining Company in Harlan County, Kentucky in June, 1973.
Eastovers refusal to sign a contract (when the miners joined with the United Mine Workers of America) led to the strike, which lasted more than a year and included violent battles between gun-toting company thugs/scabs and the picketing miners and their supportive women-folk. Director Barbara Kopple puts the strike into perspective by giving us some background on the historical plight of the miners and some history of the UMWA.
Pas de panique, le film est en Vo sous titré français.

[atheneeinfos] programme fin mars à début ma i

Athénée Libertaire
programme fin mars à début mai

Vendredi 22 Mars 19h30 - Apéro non mixte d'Ovaires et Contre Tout

Nous aurons le plaisir d'accueillir Jules Falquet (militante féministe, maîtresse de conférence au Centre d'Enseignement, de Documentation et de Recherche pour les Etudes Féministes, Paris 7.), avec qui nous pourrons parler - entre autres - des féminismes latino-américains, autour du miam-miam et du glou-glou amené par chacune.
Convivialité antipatriarcale assurée!

Samedi 23 Mars 16h00 - Débat
La librairie du muguet fête ses dix ans, et vous offre une sangria après le débat « la Bio, entre business et projet de société ».
La grande distribution propose des produits bio importés de l’autre bout du monde, à l’empreinte écologique catastrophique, cultivés par des ouvriers sous-payés et revendus entre cinq et dix fois leurs prix d’achat.
Pendant ce temps, des paysans vendent leurs produits bio, avec une réflexion sur un prix juste, sur des marchés de plein vent ou au sein d’Amap. Plutôt qu’une démarche indissociablement écologique, sociale et politique, peut-on réduire la bio à une distribution d’aliments sans pesticides pour consommateurs inquiets de leur santé ? La bio peut-elle se mettre au service du “bien-être” d’une partie de la population sans ébranler les fondements de la société de consommation ?
Débat en présence du coordinateur et auteur Philippe Baqué.

Dimanche 24 Mars 19h00- Concert
Obedencia ( punk rock / Madrid) + invité-es.
5€ - orga Perrovaca


Mercredi 3 Avril 19h00 - Concert Hardcore-Punk
Sectarian Violence [ Uk/USA/Swe.]
Shock [Bordeaux]
Fracaso [ Punk Hardcore Anarquista / Caracas(Vénézuela)
Orga : Mankind 5 euros


Vendredi 12 Avril - Concert
Bernays Propaganda ( Post punk / Macédoine ) + guest
Orga Mankind, 5 €


Mercredi 1er Mai – 13h00 - Apéro annuel, récurent, bruyant, accueillant, militant ...
Rdv après la manif de la journée internationale de lutte des travailleur-ses


Samedi 3 Mai - Projection – 19h00
Harlan County, U.S.A. est un documentaire américain réalisé par Barbara Koople en 1976.…
This film documents the coal miners' strike against the Brookside Mine of the Eastover Mining Company in Harlan County, Kentucky in June, 1973.
Eastovers refusal to sign a contract (when the miners joined with the United Mine Workers of America) led to the strike, which lasted more than a year and included violent battles between gun-toting company thugs/scabs and the picketing miners and their supportive women-folk. Director Barbara Kopple puts the strike into perspective by giving us some background on the historical plight of the miners and some history of the UMWA.
Pas de panique, le film est en Vo sous titré français.

dimanche 17 mars 2013

[NDDL] : Carnaval Notre Dame des Landes Dimanche 17 mars

RDV  Carnaval de Dimanche

A l'occasion du carnaval des 2 rives et de l'inauguration du pont Bacalan-Bastide, les "collectifs girondins Notre Dame des Landes" vous donnent à tous rendez-vous.

Le dimanche 17 mars 2013 à 13 h 00 devant l’église Sainte Marie de la Bastide, avenue Thiers à Borde
aux,
pour fêter ensemble le carnaval . Prévoir les déguisements de circonstance.

A dimanche.

Faites passer le message ! 

[LGV] : Grande Manifestation Régionale/ Sam edi 23 mars à Nérac

Grande Manifestation Régionale

NON à la LGV
HALTE au GASPI !

Samedi 23 mars à 14h30 à Nérac, place du foirail

OUI au train des besoins essentiels 
OUI à la bonne utilisation de notre argent

Alors que le gouvernement hésite dans ses choix vis à vis des LGV, c'est maintenant qu'il faut montrer notre opposition afin d'obtenir l'arrêt définitif du projet !
Nous devons exprimer avec force notre refus de ces LGV qui détruiraient nos territoires et assécheraient les finances publiques au détriment de la satisfaction des besoins du quotidien (crèches, écoles, hôpitaux, santé, logements, environnement, …). 

Covoiturage / Gironde

Bordeaux : RV à 12h30 au n°1, rue de Tauzia – 05 56 91 33 65

Castres/Gironde : RV à 13h, place Lamarque - 06 80 36 65 55

Balizac : RV à 13h, place de l'église - 05 56 62 99 57

Bernos-Beaulac : RV à 13h, parking du stade - 06 04 13 34 81

Affiches et tracts                         

Tracts et flyers en PJ - 

Affiche à télécharger: http://lea.asso.free.fr/docs/affiche-coord-33-a3.pdf
----> Imprimez-les et distribuez-les pour faire passer l'info !



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Sortie en salle de Notre Monde un film de Thomas Lacsote

SORTIE LE 13 MARS

Dans toutes les bonnes salles

__

La bande annonce de Notre Monde

 

___________________

 

 

Synopsis

 

Rassemblant plus de 35 intervenants, philosophes, sociologues, économistes, magistrats, médecins, universitaires et écrivains, Notre Monde propose un espace d’expression pour travailler, comme nous y enjoint Jean-Luc Nancy à « une pensée commune ».

Plus encore qu’un libre espace de parole, Notre Monde s’appuie sur un ensemble foisonnant de propositions concrètes pour agir comme un rappel essentiel, individuel et collectif : « faites de la politique » et de préférence autrement.

Thomas Lacoste, initiateur de L’Autre Campagne parallèle à la campagne présidentielle de 2007, auteur des entretiens Penser critique, kit de survie éthique et politique pour situations de crise(s) (47 films, 24h, éditions Montparnasse, 2012), nous offre ici une grande respiration, comme un temps de pause, face au rythme haletant de la vie politique.

___________________

Avec

Marianne Denicourt,

Éric Alt, Étienne Balibar, Luc Boltanski, Matthieu Bonduelle, Laurent Bonelli, Michel Butel, Robert Castel, Christophe Dejours, Elsa Dorlin, Jean-Pierre Dubois, Éric Fassin, Bastien François, Susan George, François Gèze, Jean-Luc Godard, André Grimaldi, Nacira Guénif-Souilamas, Patrick Henriot, Françoise Héritier, Christophe Mileschi, Jean-Luc Nancy, Pap Ndiaye, Toni Negri, Gérard Noiriel, Bertrand Ogilvie, Louis-Georges Tin, Sophie Wahnich

 

ET LA PARTICIPATION D' Anaïs De Courson et Delphine Moreau

ET LES CONTRIBUTIONS DE Hourya Bentouhami, Barbara Cassin, Monique Chemillier-Gendreau, François Chesnais, Claude Corman, Thomas Coutrot, Keith Dixon, Mathilde Dupré, Alain Mercuel, Frédéric Neyrat.

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UN FILM DE Thomas Lacoste

PREMIÈRE ASSISTANTE REALISATRICE Anne Fassin

PRODUIT PAR Robert Guédiguian, Blanche Guichou, Thomas Lacoste, Julie Paratian et Patrick Sobelman

FICTION ADAPTÉE A PARITR D'UN TEXTE DE Marie Ndiaye (Trois femmes puissantes, Gallimard, 2009)

IMAGE Irina Lubtchansky assistée de Pierre-Hubert Martin, Yves Michaud assisté de Mario Befve et Marianne Denicourt assistée de Maxime Guérin

MUSIQUES Olivier Samouillan (Art Melodies)

SON Rosalie Revoyre assistée de Yohann Angelvy

MONTAGE Thomas Lacoste assisté d'Anne Fassin, Lisa Cocrelle et Valérie Pico assistée de Slaven Rebelo

POST-PRODUCTION Pierre Huot

MIXAGE Mélissa Petitjean Assistée de Léo Lepage

ÉTALONNAGE Ghislain Rio

PHOTOGRAPHE PLATEAU Céline Gaille

DIRECTION DE PRODUCTION Marie-Frédérique Lauriot-dit-Prévost et Lucie Corman

DIRECTEUR FINANCIER Marc Bordure

UNE PRODUCTION AGAT Films & Cie, La Bande Passante et Sister Productions

UNE DISTRIBUTION Shellac

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Les RDV publics

(pour les 7 prochains jours)

 

w Ce soir, mercredi 13 mars à 19h30, sortie nationale de Notre Monde et projection à l'Espace Saint Michel (7, Boulevard Saint-Michel, Paris Ve), en présence de Christophe Dejours (intervenant du film, psychiatre et psychanalyste professeur au Conservatoire national des arts et métiers et directeur du Laboratoire de psychologie du travail et de l’action), des producteurs Robert Guédiguian et Blanche Guichou (Agat films & Cie/Ex nihilo) et de Thomas Lacoste. Réservation fortement conseillée auprès du Cinéma. Renseignements : 01 44 07 20 49. La séance sera suivie d'une petite fête.

w Ce soir, mercredi 13 mars de 20h à 21h, Christophe Dejours et Thomas Lacoste seront les invités de l'émission, en direct, de Kathleen Evin, L'Humeur vagabonde sur France Inter.

w Demain, jeudi 14 mars à 20h30, projection-débat de Notre Monde au cinéma Utopia (Toulouse) en présence de Geneviève Azam (économiste et maîtresse de conférences à Toulouse II et membre du conseil scientifique d'Attac) et de Thomas Lacoste. Réservation fortement conseillée auprès du cinéma Utopia. Renseignement : 05 61 21 22 11

w Vendredi 15 mars à 19h30, projection de Notre Monde au cinéma l'Espace Saint-Michel (Paris), suivie d'un débat sur le chapitre consacré à l'éducation avec les intervenants du film Christophe Mileschi (italianiste, écrivain et traducteur, professeur à l'Université de Paris 10) et Bertrand Ogilvie (philosophe et psychanalyste, professeur de philosophie à l'Université de Paris 8, ancien directeur de programme au Collège international de philosophie), en présence de Thomas Lacoste. Réservation conseillée auprès du cinéma Espace Saint-Michel. Renseignements : 01 44 07 20 49

w Samedi 16 mars à 19h20, projection de Notre Monde au cinéma MK2 Beaubourg (50, rue Rambuteau, Paris 3e) la séance sera présentée et introduite par Thomas Lacoste. Réservation conseillée : site MK2

w Dimanche 17 mars à 15h, projection de Notre Monde au cinéma l'Espace Saint-Michel (Paris), suivie d'un débat sur le chapitre consacré à la santé avec l'intervenant du film André Grimaldi (médecin, professeur d'endocrinologie à la Pitié Salpêtrière, ancien chef du service de diabétologie), en présence de Thomas Lacoste. Réservation conseillée auprès du cinéma Espace Saint-Michel. Renseignements : 01 44 07 20 49

w Lundi 18 mars à 20h30, projection-débat de Notre Monde au cinéma MK2 Beaubourg (50, rue Rambuteau, Paris 3e) en présence de Luc Boltanski (intervenant du film, sociologue il est directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales - EHESS) qui sera accompagné par Stanislas Baudry et Philippe Hagué. Réservation conseillée : site MK2

w Lundi 18 mars à 20h, projection-débat de Notre Monde au cinéma Majestic (54, rue de Béthunes, 59000 Lille) en présence de Christophe Mileschi (intervenant du film, italianiste, écrivain et traducteur, professeur à l'Université de Paris 10) et du cinéaste Thomas Lacoste. Réservation conseillée auprès du cinéma Le Majestic.

w Mardi 19 avril à 19h30, projection-débat de Notre Monde à l’Université de Caen, Amphi Daure, en présence de Bertrand Ogilvie (intervenant du film, philosophe et psychanalyste, professeur de philosophie à l'Université de Paris 8, ancien directeur de programme au Collège international de philosophie) et du cinéaste Thomas Lacoste. Soirée organisée en partenariat avec la Maison de l’image Basse-Normandie, le département Arts du spectacle de l’Université de Caen et l’association Démosthène.

___________________

Les séances du 13 au 19 mars

 

 

Aix-en-Provence

Le Mazarin : mer, sam, dim 17h25 et jeu, ven, lun, mar 16h

 

Bordeaux

Utopia : Jeu 11h30 - ven 14h45 - sam 17h30 - dim 21h30 - lun 17h20 - mar 15h

 

Hérouville (Caen)

Café des images : Mer 19h00 - jeu 17h40 - ven 17h30 - dim 21h00 - lun 15h00 - mar 19h30 (débat Université de Caen)

 

Lille

Le Majestic / tous les jours : 17h20 (lun débat 20h00)

 

Montpellier

Le Diagonal : mer 11h35 - ven 15h40 - dim 11h35 - lun 17h55 - mar 17h30

 

Nantes

Le Concorde : mer 16h10, 20h45 - jeu 18h30 - ven 16h10, 20h45 - sam 18h30 - dim 20h45 - lun 13h50, 18h30 - mar 20h45

 

Orléans

Les Carmes : mer 17h30 - dim 11 - lun 21h15

 

Paris

Espace Saint-Michel / tous les jours : 12h55, 15h, 17h30, 19h35, 21h45 (débats mer et ven 19h30 - dim 15h00)

MK2 Beaubourg / tous les jours : 14h, 16h40, 19h20, 21h50 - sauf lun 13h, 15h30, 18h, 20h30 (débats mar 20h30, sam 19h20, lun 20h30)

 

Rouen

Omnia : mer 20h15 - jeu 18h20 - ven 18h20 - sam 20h15 - dim 20h15 - lun 18h20 - mar 18h20

 

Strasbourg

Le Star / tous les jours : 17h55 - mer sam dim 11h00

 

Toulouse

Utopia : Jeu 20h30 (Débat) - ven 15h - sam 13h30 - dim 11h30 - lun 17h30 - mar 15h40

 

Valence

Le Lux : mer 18h00, 20h15 - jeu 18h - ven 18h, 20h15 - sam 20h - mar 20h15

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Revue de presse :

 

 

« Faire dialoguer en un même lieu autant de paroles diverses tant par les disciplines, les courants de pensée, les origines, les âges, les sexes est déjà une rareté en soi. Mais filmer ces discours et ces idées en les incarnant, les ordonner et les articuler par le montage, et faire advenir à l'écran leur complexité, leur cheminement, leur limpidité, leur utilité, c'est un spectacle extraordinaire. Pédagogique, stimulant, utile, Notre monde est un film d'intervention politique et sociale au sens le plus fort du terme. »

LES INROCKS

« Un film rempli de mots, d'idées et de propositions pour des lendemains plus réjouissants.(...) Rarement autant d'intellectuels auront défilé devant une même caméra, pour parler de politique, décrypter les dysfonctionnements de leur champ d'étude et semer quelques graines, avec le désir de les voir pousser un jour. »

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« Loin des constats stériles ou sclérosants, les intervenants essaiment des propositions pour changer le visage d'une société inique. Rétablir plus de justice, battre en brèche les déterministes socioculturels, accueillir la diversité en vue de modifier nos modes de relations : les paroles s'additionnent dans une polyphonie qui a pour objet, une démocratie en actes. »

LE MONDE

 

« Thomas Lacoste a donc réussi à coupler une forme cinématographique léchée et la force de la critique des sciences sociales pour réaliser une œuvre filmique qui décrit, dénonce et analyse les travers de notre temps, et ouvre des pistes pour les infirmer. Pour un appel à réinventer « notre monde ». »

POLITIS

 

« Dans quel monde vivons nous et comment pouvons nous le rendre plus juste, plus fraternel, plus sensible ? Le pari peut sembler fou. Le résultat est éblouissant. Philosophes, sociologues, magistrats, psychanalystes, économistes, juristes… Le "casting" est plus brillant que celui de n'importe quel blockbuster. Le miracle a lieu très vite on est subjugué : les idées coulent, limpides. »

LA GAZETTE DE L'UTOPIA

 

« La nouvelle est d'importance : il existe encore une pensée politique en France. Une réflexion souple, virtuose, impertinente, joyeuse enfin. Thomas Lacoste déploie avec brio un film choral. »

TRANSFUGE

 

« Un objet militant absolument passionnant, sa large diffusion est nécessaire pour faire entendre ces voix unies qui lancent une injonction urgente : "Faites de la politique !". »

PREMIÈRE

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« Dans quel monde vivons nous et comment pouvons nous le rendre plus juste, plus fraternel, plus sensible ? Le pari peut sembler fou. Le résultat est éblouissant. Philosophes, sociologues, magistrats, psychanalystes, économistes, juristes… Le "casting" est plus brillant que celui de n'importe quel blockbuster. Le miracle a lieu très vite on est subjugué : les idées coulent, limpides. »

LA GAZETTE D'UTOPIA

 

« Simple et élégant, ce documentaire permet de se frotter à des manières différentes de concevoir notre société, et de s'ouvrir les horizons. »?

L'EXPRESS

 

« Un documentaire citoyen passionnant qui nous pousse à réfléchir sur l’état actuel de notre monde en présence de nombreux intellectuels aux points de vue radicalement différents de ceux entendus ad nauseam à la télévision. Une belle initiative qui pourrait aussi servir de plate-forme à des discussions entre citoyens afin d’éveiller les consciences. »

AVOIR-ALIRE.COM?

 

« Depuis des années, Thomas Lacoste balise les chemins de la connaissance. Il a fréquenté les penseurs les plus éminents, théorisé mille fois la marche du monde et, inlassablement, cherché à décloisonner les disciplines, à mettre en relation savoir et réalité, élites et profanes, discours et incarnation. »

SUD-OUEST

 

« Rêver de notre monde, le concret des propositions. 

Des praticiens engagés, des acteurs sociaux, des chercheurs issus de la pensée critique essaient là de repenser du politique, dans "une phrase cinématographique chorale" qui veut embrasser une vie et ses potentialités. Et c'est peu dire que la gorge du spectateur se noue devant ces potentialités, ces représentations d'un possible que l'homme est capable d'énoncer sans parvenir à les concrétiser pleinement. »

L'HUMANITE

 

«

La qualité des prises de paroles rend la vision du film toujours très stimulante. (...) Repenser la pratique citoyenne, dénoncer la crapulerie de la finance, mieux intégrer les minorités dans une société qui ne serait plus dominée par l'épuisant discours de compétition libérale et des crispations nationalistes, autant de clous qu'il n'est pas mauvais d'enfoncer à nouveau. »

LIBERATION

 

«

Documentaire foisonnant, intelligent et polémique. De ces entretiens rythmés placés sous les auspices de Pasolini et de Godard, se dégage l’urgence de déconstruire le discours habituel en le confrontant à d’autres points de vue, cela afin de « voir » et « entendre » avec de nouveaux yeux et de nouvelles oreilles, et de tout repenser par soi-même. »

L'OFFICIEL DES SPECTACLES

 

 

Retours des spectateurs-actifs :

« Notre Monde fait partie de ces films qui s’offrent, se racontent, se content, il est à faire circuler sans modération ! »

« L’envie portée par le film c'est de partager la parole, d'avoir des espaces où l'on peut enrichir une pensée. »

 

« Vous, Thomas Lacoste réalisateur, vous nous montrez que la pellicule révèle l’intelligence lorsque l’objectif est sans faille. MERCI. »

 

 

Retours des intervenantEs :

Ce film parie sur l'intelligence. Non pas tant l'intelligence de ceux qui ont la parole : c'est leur métier ; mais celle du public. Aujourd'hui, on fait d'ordinaire le pari de la bêtise : pour la plupart, les médiateurs ne croient